Dans la nuit du 12 au 13 janvier 1976, à Beaumaris, tranquille banlieue du sud de l’Australie, la petite Eloise Worledge, 8 ans, dormait dans sa chambre. Au matin, son lit était vide, la fenêtre de sa chambre était entrouverte et la moustiquaire découpée de l’intérieur.

Aucune trace de lutte, aucune empreinte. Des centaines de policiers furent mobilisés, des milliers de personnes interrogées. En vain.

Près de cinquante ans plus tard, l’affaire refait surface. En 2024, la publication d’un rapport d’enquête sur les abus sexuels commis par des enseignants à l’école primaire de Beaumaris – celle qu’Eloise fréquentait – jette une lumière nouvelle sur le contexte de l’époque. Le document révèle que plusieurs professeurs pédophiles exerçaient dans l’établissement, un fait totalement ignoré des enquêteurs en 1976.

Aujourd’hui encore, la disparition d’Eloise Worledge reste l’un des plus grands mystères criminels d’Australie. Et la police espère toujours qu’un témoin, quelque part, détiendra enfin la clé du secret.

Qu’est-il arrivé à Eloise Worledge ? 

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